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Auberge de la Croix Blanche

1.0 star property
9.4 out of 10, Exceptional, (119)
"We enjoyed our short stay and were made very welcome by the hotel's owners, who speak excellent English. The breakfast was fine. Secure parking in the hotel courtyard. We would be happy to stay there again. "
The price is SAR 211
SAR 232 total
includes taxes & fees
23 Mar - 24 Mar
Auberge de la Croix Blanche
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Check out Abbey of Fleury and Fleury Abbey—just a couple of the sights around Germigny-des-Pres.

Oratoire carolingien ou église de la Très-Sainte-Trinité. Carolingian oratory of Germigny-des-Prés. The Basilica was built, to 806, on the model of the Oratory of Aix-la-Chapelle palace by Theodulf Bishop of Orleans and abbot of Fleury-sur-Loire. This building is designed by an architectural monuments Mozarabic Languedoc and Spain. The bishops will meet in council in 843. Oratory was burned in the ninth century, perhaps by the Normans, who plundered the neighboring monastery of Fleury in 856, 865 and 866. Oratoire carolingien de Germigny-des-Prés. La Basilique fut bâtie, vers 806, sur le modèle de l’Oratoire du Palais d’Aix-la-Chapelle par Théodulfe évêque d’Orléans et Abbé de Fleury-sur-Loire. Ce bâtiment conçu sur plan carré à quatre feuilles est ramassé autour d’une tour lanterne, principe architectural des monuments mozarabes du Languedoc et d’Espagne. En 843, un concile s’y réunit. L’Oratoire fut incendié au IX ème siècle, peut-être par les Normands qui pillèrent le monastère voisin de Fleury en 856, 865 et 866. « En descendant le cours de la Loire, entre Château-neuf et Saint-Benoît, à deux milles seulement du monastère de Fleury, on trouve la petite église de Germigny-des-Prés, bâtie par Théodulfe et conservée en partie jusqu’à nous. Le"village de Germigny, assis dans des prairies qu'arrose la petite rivière de la Simiare, était depuis longtemps un nef de l'abbaye, quand Théodulfe, épris de ce séjour, voulut y bâtir une église qui fit l'admiration de la contrée. Suivant son attrait pour tout ce qui était une renaissance de l’antiquité, l’évêque préféra le style byzantin au style roman, également employé dans les monuments de cette époque. L’église fut donc construite, non pas, comme on l'a cru, sur le modèle de la grande basilique élevée par Cbarlemagne à Aix-la-Chapelle, mais seulement sur le plan de la chapelle intérieure du palais, moins vaste, mais enrichie des marbres et des sculptures enlevées à l’Italie. » (Théodulfe Évêque d’Orléans et Abbé de Fleury-sur-Loire, par l’Abbé Baunard, Chanoine honoraire, Docteur és-lettres et Professeur au Petit Seminaire d’Orléans - 1860) « Théodulfe n’était pas d’origine gauloise ni de la race des Francs. Il descendait de ces Goths conquérants qui, après avoir servi dans les armées romaines, avaient fini par supplanter leurs maîtres, et qui, naguère encore, en Italie et en Espagne, avaient jeté un si grand éclat dans les lettres aussi bien que dans la guerre. C'était la politique de Charlemagne d'attirer dans la Gaule franque les hommes distingués de tous les pays, pour y seconder le développement intellectuel qui devait faire l'honneur de son règne. » (Théodulfe Évêque d’Orléans et Abbé de Fleury-sur-Loire, par l’Abbé Baunard, Chanoine honoraire, Docteur és-lettres et Professeur au Petit Seminaire d’Orléans - 1860) D’éminent « missi dominici » de l’empereur Charlemagne, il tomba en disgrâce et mourut en prison à Angers. Après la mort de Charlemagne, il est impliqué dans la révolte du roi Bernard d'Italie* contre l'empereur Louis le Pieux (817). Il est démis de son évêché et emprisonné en 818 à Angers, probablement à l'abbaye Saint-Aubin, où il meurt en 821. Il est canonisé, considéré comme saint par l'Église catholique qui le fête le 1er mai. La façon dont Louis le Pieux a organisé sa succession (ordinatio imperii) n’est pas admise par tous. Les mécontents se regroupent autour du roi Bernard d’Italie qui craint d’être dépossédé. La révolte est déjouée et les coupables sévèrement punis (Bernard et ses compagnons sont condamnés à la peine capitale. Cette révolte avortée va avoir de tragiques conséquences, Bernard d'Italie et ses compagnons sont condamnés à la peine capitale. Cependant, à l’occasion des fêtes de Pâques l'Empereur des Francs prend la décision de gracier les condamnés. Louis le Pieux ordonne donc que les rebelles soient "privés de la vue". On leur crève les yeux, puis on leur brûle les orbites au fer rouge. Le roi d’Italie, Bernard, comme son chambellan, Reginhard, ne survit pas à ce supplice. Le fils de Pépin d'Italie, meurt trois jours plus tard. Et son royaume passe aussitôt sous le contrôle de l'Empereur. Mais comme rien ne prouvait la culpabilité de Théodulfe, et qu’on ne pouvait lui arracher aucun aveu, on se contenta de le reléguer dans un monastère. Pour occuper son temps, durant sa détention, Théodulfe composera l'hymne « Gloria, laus et honor tibi » (À toi gloire, louange et honneur). Théodulfe finira par être libéré. « Louis étant à Angers où il tenoit prisonnier Théodulfe, abbé de Fleury, le jour des Rameaux, auxquels les chrétiens font une procession générale, les palmes à la main, en mémoires de l’entrée triomphante de J.-C. en la ville de Hiérusalem, pour lequel jour ce bon abbé avait composé ces beaux vers que l’Eglise à tousiours chanté depuis : Gloria laus et honor, voinnt qu’il ne pouvait assister en personne à cette réjouissance publique de toute l’Eglise, se mit à les chanter de si bonne grâce et si à propos lorsque l’empereur passait avec toute sa cour, que le prince touché de compassion le fit aussitôt sortir de prison et rétablit en son amitié. » (Les Chron. génér. de l’ordre de Saint-Benoît, t. IV, p.85) Mais Théodulfe ne devait pas revoir son diocèse. Selon certaines sources, « il se disposait à se rendre à Orléans, quand le 15 des calendes d’octobre de 821, il mourut, dit-on de la mort de Thomas Becket, empoisonné par ceux qui redoutaient son retour, s’étant emparé des biens d’église ».
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